Sunday... bloody sunday ? XD

« Sunday Bloody Sunday… », hurlait la radio dans la voiture –décapotable s’il vous plaît- de Leonor Occland.
Un peu trop sanglant certes, mais on était dimanche. Pratique pour s’en rappeler on peut dire et surtout que c’est du U2 quand même, rien de mieux qu’un tel groupe pour commencer la journée. La journée ? Il était déjà 16h mais Leonor s’était réveillée il y a à peine deux heures. Aah le week-end, c’est tellement bien qu’on fait trop la fête et qu’on oublie de se réveiller.
Elle avait passé son samedi à bronzer sur la plage, lunettes de soleil Daniel Swarovski sur le nez, son magazine de mode préféré « Vogue » sur les genoux et une cigarette dans les mains. Avant bien sûr d’avoir passer la soirée à faire la fête avec ses ami(e)s jusqu’à pas d’heure.
Ce matin, pardon cet après-midi là, elle avait un peu mal à la tête. Certainement dû à trop d’alcool ingurgité…
Leonor mit un CD et augmenta le volume pour que le son de Keane résonne entièrement, à un tel point que tout le monde pouvait entendre du fait qu’elle était en décapotable et qu’elle avait mis les basses. Elle mit son autre paire de lunettes de soleil –en fait elle en avait plus de deux mais passons- Dior et se reconcentra sur sa route.
Lorsqu’elle s’était réveillée, déjà il a fallu à Leonor de savoir quelle heure il était puis de prévoir quelque chose. Dimanche, dimanche, dimanche… que faisait-elle ce jour-là ? Généralement pas grand chose. Elle trouvait toujours le moyen de se faire inviter chez quelqu’un pour un jaccuzzi ou pour aller boire un verre au bord de la plage, mais cette semaine avait été ponctuée de nombreux rebondissements comme se faire couper les cheveux ou encore trouver de nouvelles tenues à Paris qu’elle en avait oublié le dimanche.
Mais d’ailleurs où est Paris ? À ce moment-là le petit Yorkshire de cinq mois se redressa du sac Hermès dans lequel il était. Pardon elle était… Vêtue d’un petit haut rose, Paris tourna la tête vers sa maîtresse qui lui adressa un petit sourire attendri et dit :

« On est bientôt arrivé Paris… Quelques minutes et le centre commercial sera à nous ! »

Elle lui sourit à nouveau, cette fois-ci contente d’elle et reposa son attention sur la circulation qui commençait à être dense.
Leonor avait donc prévu d’aller au centre commercial pour voir la nouvelle gamme de chez Chanel qui devait sortir en avant première à L.A. Elle avait pris une barre de céréales pour se remplir le ventre, s’était vernis les ongles… pour changer et avait revêtu une adorable petite robe rose à fleurs imprimées cachant des dessous roses… pour changer. Puis elle s’était occupée de Paris, lui avait sortit un haut rose pour qu’elles soient toutes les deux unies et, parée de ses lunettes de soleil et de son sac Hermès, Leonor avait prit sa voiture pour aller au centre commercial.

Lorsqu’elle y parvint, Leonor se gara et alors qu’elle en sortit, elle vit quelque chose d’hideux. Voilà, son après-midi allait être gaché par… cette… cette brune ! Et en plus la brune là, elle la regardait. Non mais pour qui elle se prenait cette brune ? Ah oui « les brunes ne comptent pas pour des prunes »… Leonor passa une main dans ses cheveux, l’air hautain. Oui, fière d’elle blonde. Elle empoigna son sac avec Paris dedans, referma sa voiture à clef et passa devant la brune comme si de rien n’était.

« Allez Paris, à nous les magazins », dit-elle à son chiot.

Ce jour la, notre petite Maritza s'était levée très tôt, enthousiasmée par cette journée, voir même sur excitée, ce soir elle se présenterait a un fameux concours de danse sociale ou elel se donenrait en spectacle devant des milles et des milles de téléspectateurs. La danse que la demoiselle avait choisit n'était pas des plus faciles, tout de même il y avait une certaine classe dans ce style particulier de danse, il s'agissait en fait du Flamenco, une danse espagnole typique ou les jeunes femmes ou sous les mains soit des scastagnettes ou encore des petites cloches qu'a fil des mouvements de bras fait sonner la clochette. Le plus flagrant dans cette danse est probablement la longue et élégante robe qui traine sur le sol, intelligemment, elle réussit a contourner ce problème en se déplacant soigneusement sur la scene. Ce soir elle sera tout simplement sublime!

Enfin tout pourrait sembler parfait et pourtant il manquait toujours le second costume de notre Maritza, qui en plus de danser le Flamenco, elle fera égallement du tango argentin pour etre plus précis. Cette danse plus romantique et d'Autant plus sensuel, la désanvantageait lorsqu'elel devait sentir une certaine passion entre elle et son partenaire, un peu difficile lorsqu'on a un copain de anture jalouse et possesif par moments. Notre petite Maritza savait très bien que Joshua serait près a massacrer son partenaire de danse si la chance lui avait été donné de le faire mais tout de même la belle morena avait toujours ce petit sourire ou bien cette excuse qui ravissait et faisait perdre l'envie du jeune sportif. Bien entendu, la Ralhetas aurait remplacé a coeur joie son partenaire si jamais Josh savait danser ce type de danse mais ca ne semblait pas être le cas, l'Espagnole tentait a ses heures perdues de lui apprendre bien qu'il soit très peu enclin a se laisser guider, elle faisait de gros efforts pour combler tout les petits trous de sa relation afin qu'elle demeure toujours aussi parfaite.

Alors notre petite Européenne, se rendit au centre commercial le plus proche en quête d,une petite aubaine qui pourrait faire son bonheur, après tout, elle ne portera probablement qu'une seule fois ce type de vêtements, bein qu'elle mette des robes chaques jours, une robe de tango était quelque peu différente en tout ses points, elle était beaucoup trop courte, trop courte parce que Maritza le voulait et beaucoup trop décolté pour qu'elle se présente de cette facon a l'Unirvesité, il fallait demeurer tranquille tout simplement.C'est donc avec une jupe toujours aussi longue de jean avec une blouse de couleurdoré mariant aprfaitement son teint, les épaules nues et les bras libres que la demoiselle se rendit au centre, elle vit alors une jeune fille d'une chevelure blonde la regarder avec cet air de prétencieuse, de sur d'elle et en plus totallement indifférente au fait que par sa faute, notre jeune Maritza ait laissé tomber son sac au sol, probablement trop occupée a observer cette haine au fond des yeux de cette blonde. Poutant jamais l'espagnole ne lui a fait de tort, jamais, c'était le moindre de ses soucis!

Après s'être hatée a attraper tout ce petit bordel sur le sol, la jeune femme se dirigea vers la petite blonde de tout a L'heure. Il devait y avoir forcément une raison pour alquelle, l'inconnue se méfie de cette facon de Maritza, enfin ce n'était peut-être pas important mais pour la brune il s,Agissait d,uen chose primordiale, pourquoi? C'est tout ce qu'elle voulait savoir, rien de trop trop compliquer mais pour l'étrangère il s'Agirait d'une offense a ses yeux, de lui demander quoi que ce soit.

-Excusez moi...Hum, je voulais simplement savoir, si j'ai fait quelque chose de mal ou bien si je vous ai dérangé parce que... enfin je comprend pas trop votre réaction. Avait-elle dit simplement, avec une pointe d'Accent espagnol dans sa voix ce qui déformait queqlue peu les mots . Peut-être bien que vu la manière dont la Ralhetas a tenu de tels propos était offensant mais sa mère lui avait toujours dit qu'il ne fallait pas prendre 4 milles détours pour aboutir au sujet principal, qu'il vallait mieux aller droit au but et c est ce qu'elle fit.