Le hasard du train à grande vitesse.

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C'était un train à grande vitesse qui reliait le nord et le sud de l'Amérique en plus d'une journée. Elle n'avait pas un trajet aussi long à faire mais elle avait été contrainte de prendre ce moyen de transport pour rendre visite à son oncle durant les vacances. 1 semaine qui s'annoncait pourtant au départ insupportable. 7 jours dans un ranch perdu soit 7 jours d'ennui total sans grands magasins à sa portée et sans contacts.

Bien sûr, elle aurait pu refuser de venir et rester chez elle mais elle savait que rendre visite à son oncle et sa tante leurs redonnerait le sourire. Ce n'était pas de l'hypocrisie ou de la compassion et malgré ce que présageait ce voyage, Kaitlynn possédait un grand sens des valeurs familiales.
Et elle se trouvait là, dans ce train, depuis maintenant 2 heures, qui la ramenerait en ville, pour retrouver son univers, son université.
Et voilà qu'elle avait un peu de regrets maintenant, la nostalgie de cette semaine. C'était un dépaysement qui l'aurait déçue il y a 1 mois, mais qui avait semblé lui plaire aujourd'hui puisque son séjour s'était très bien passé et qu'elle avait pu pendant un moment profiter de la nature et d'une simplicité quotidienne.

Est-ce qu'elle avait changé ? Elle se posait elle-même cette question ne sachant lui en trouver de réponse satisfaisante. L'épisode James et la brune l'avait sortit d'une illusion idyllique et elle en subissait encore les conséquences aujourd'hui. Sauf qu'elle avait l'impression d'avoir mûri, comme si elle ne regardait plus de la même distance ses amis, son centre comercial, son coiffeur, et les étudiants à l'université. Bien sûr elle avait gardé les mêmes centres d'intêrets et son caractère mais elle semblait avoir gagné en assurance, enfin elle esperait. Elle était consciente que le sujet James qu'il soit simplement évoqué ou rencontré lui faisait perdre ses moyens...

Elle était donc là, dans ce train qui faisait défiler des paysages plats à perte de vue devant ses yeux. Une ligne de front. A l'horizon le soleil commençait à se coucher peu à peu, et seules les faibles lumières du train éclairait sa place et donnait une ambiance tamisée. Il n'y avait pas grand monde dans le wagon, ni dans son carré 4 personnes et la solitude commençait à l'emparer, devant son bout de fenêtre.
Kaitlynn frissonna, rajusta sa légère écharpe blanche, enfila ses lunettes rectangulaires qui lui donnaient un air original et se replongea dans ses cours de droits sur sa petite tablette.

Elle fut interrompue dans sa lecture par une voix masculine familière qu'elle reonnue immédiatement et qui la troubla facilement...

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A son grand désespoir, la voiture de James se trouvait à l'entretient. Il l'aurait bien reporté mais vu sa voiture son assurance ne lui permetait aucun écart à ce niveau là.

*Si seulement ils savaient à quelle vitesse je roule.*

Il avait du se rendre au nord pour assiter à un congrès donner par un grand juriste. Il n'aurait raté ça pour rien au monde d'autant plus qu'il avait profité de l'occasion pour revoir des amis qui habitaient dans ce coin là.

Il était donc arrivé la veille au soir et avait fait la fête jusque tôt le lendemain. Ensuite il avait prit une rapide douche et s'était rendu à la conférence. Celle-ci finie il s'était rendu à la gare et était monté dans le TGV.

Son ticket en main, il ne prit même pas la peine de se diriger à sa place. Il était passé par le wagon-restaurant et avait prit un bon repas avec un pichet de vin. Lorsqu'il eu fini, il se décida à regagner sa place.

Le ticket à la main, il arptentait les couloirs jusqu'à arriver à son wagon, ensuite il chercha sa place. Juste en face de ceel-ci qui était vide il y vit...

*Saleté,Kaitlynn, c'est bien ma chance tiens ça. Bon allais James prend sur toi.*

Juste avant de prendre place il se contenta de simples salutations puis prit place à l'endroit qui lui était réservé.

- "Salut Kaitlynn."

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Kaitlynn attendit 1 ou 2 secondes qui lui parurent interminables, encore surprise de la voix qu'elle venait à peine d'entendre. Enfin elle releva légèrement la tête, et aperçut James. C'était la première fois qu'elle le revoyait et elle ne s'attendait pas du tout à ce genre de retrouvailles.
Elle le dévisagea rapidement.

* Il est exactement le même *.

* Evidemment qu'il est exactement le même, pourquoi aurait-il changé ?*

Pourquoi ? Après tout c'était lui qui avait décidé de cette rupture.

La jeune femme s'arrêta sur le billet de train qu'il tenait dans la main. Il y avait donc un hasard assez puissant pour qu'ils se retrouvent dans le même train, l'un en face de l'autre.

* C'est bien ma veine * pensa-t-elle.

Il l'a salua et elle répondit seulement un :

- James ... qui pouvait adopter un ton agréable mais légèrement rancunier.

Le jeune homme s'installa et elle fit mine de débarasser un peu la table pour lui laisser de la place.

Aucun des deux ne fit donc de remarques sur les étranges coincidences qui les avaient amenés à se retrouver là.
Kaitlynn saisit son stylo assez nerveusement et se replongea tout de suite dans ses cours de droit.

Mais il était assez facile pour un quelconque inconnu de voir qu'elle ne s'en sortait pas. Elle avait un compte rendu sur une affaire qu'elle avait traité en tant que stagiaire à rédiger et le manque de concentration ou bien le manque d'efforts l'empechaient de commencer à rédiger soigneusement son texte. Elle lisait ses notes mais il était assez simple de remarquer qu'elle était complétement perdue et extrémement nerveuse. La jeune femme tripatouillait son stylo dans tous les sens et ses yeux bien que fixés sur ses cours ne les lisaient pas.

Elle pensa à leur relation à tous les deux, elle pensa à ce qu'il lui avait fait. Bien sûr, il n'y avait pas de loi qui sanctionnaient les hommes pour adultère mais elle aurait vraiment aimé ... Quoique ? Elle l'aurait défendu et il serait sorti de prison et tout serait redevenu comme avant ...

Elle riait elle même de sa naiveté.

Elle se laissa envahir par un peu de rancoeur et d'amertume et brutalement elle releva sa tête, posa son stylo, fixa le jeune homme et déclara séchement mais avec un soupçon de fébrilité:

- Qu'est ce que tu fais là, James ?

Mais dejà quelques secondes après elle regrettait son geste. Pourquoi avait-elle été aussi agressive, ce n'est pas ce qu'elle voulait. Ce qu'elle voulait c'était lui, mais elle ne voulait pas paraitre soumise à ses sentiments et pourtant en étant aussi sèche elle le lui montrait clairement. Elle voulut se rattraper et ouvrit la bouche mais préféra ne rien risquer et se tut attendant sa réaction ...

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Avant de prendre place il vérifia une dernière fois le numéro de son emplacement. Il allait belle et bien se retrouver en face de son ex pour la durée du trajet. Elle semblait moins joyeuse qu'avant mais vu qu'ils étaient séparés depuis un bon moment maintenant, il se dit que cela devait être pour une autre raison. De toute manière il ne nourissait aucuns remords à ce niveau.

Il lui fit un bref signe de tête quand elle prononça son nom mais leva les yeux aux ciels à cause du ton qu'elle venait d'employer. Ils étaient adultes et il avait autre chose à faire que de perdre son temps pour des enfantillages.

Il la regarda vaguement pendant qu'elle débarassait une partie de la tablette mais n'y fit pas attention. Il se pencha pour tirer son attache-case un peu plus vers lui et le mit sous son siège histoire de ne pas encombrer le chemin.

La jeune femme se mit à travailler et James sourit intérieurement. Il se demandait ce qu'elle pouvait bien faire en droit. A ses yeux elle n'avait pas suffisament de talent pour exercer ce métier. Mais il est vrai que vu les circonstances il était loin d'être la personne la plus objective vis à vis de Kaitlynn.

Pourtant la suite semblait vouloir lui donner raison car elle donnait l'impression de ne pas s'y retrouver pour le moins du monde dans ses notes de cours et le reste des feuilles qu'elle avait emportée. Elle caractérisait la véritable blonde, celle qui est incapable de faire son travail sérieusement et rapidement. Il fallait toujours qu'elle perde son temps à une chose ou l'autre plutôt que de faire ce qui était vraiment important.

Bien entendu s'était une des raison qui l'avait poussé à quitter la jeune blonde. Une parmi tant d'autre. Il avait rencontré Clélia qui avait un caractères qui allait beaucoup mieu avec celui de James bien que le fait de penser à certains moments du passer suffisait parfois à le rendre mélancolique. L'avantage qu'il avait maintenant, c'est que si il était à l'entrainement, sa copine ne lui disait rien vu qu'elle pratique également.

Soudain, Kait' se redressa et regarda le jeune homme. Il porta sur elle un regard interogateur se demandant ce qu'elle pouvait bien lui vouloir. Il le su bien assez tôt et plus sous forme d'agression que de question.

- "Ce que je veux..."

Il lui avait répondu froidement et d'une manière cinglante. En même temps, elle ne l'avait pas volé, elle n'avait qu'à lui parler autrement que comme elle l'avait fait. Soudain il posa ses yeux aux sols et ne repéra pas le chien de son ex.

- "T'as pas embarqué ton ras des champs aujourd'hui? Ou bien tu l'as encore mit dans un de tes sacs stupides?"

Si elle voulait jouer au jeu de celui qui serait le plus désagréable, James était près à relever le défi. Ils étaient à 1-1 maintenant et quelque chose lui disait que c'était loin d'être fini.

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Le moins qu'on puisse dire c'est que le jeune homme avait décidé d'ètre désagréable . Elle l'avait surement un peu cherché en employant ce ton agressif mais la réaction de James l'agaca encore plus . Ses yeux levés aux ciels , ses paroles froides et sèches , sa remarque complétement ridicule à propos de son chien .

Non , elle n"avait pas enméné Braxt avec elle . Elle l'vaait laissé à une amie qui s'était fait une joie de s'en occuper . A vrai dire , la famille de Kaitlynn ne supportait pas vraiment les animaux et dès qu'elle le pouvait , la jeune femme évitait d'amener son animal de compagnie quand elle partait quelques jours chez ses parents .

Elle émit un petit rire moqueur à la question désagréable que lui avait posé son ex petit ami et lui rétorqua du tac au tac , d'un air faussement outré :

- James ! Un épagneul n'est pas un rat des champs ! Je peux comprendre qu'on ne s'y connaisse pas en race de chiens mais se méprendre à ce point la ...

Puis elle croisa ses jambes et posa un coude sur ses feuilles de cours déposées sur sa tablette . Elle regarda de ces grands yeux malins et ne put s'empécher de lui demander .

- Et toi , t'as réussi à te passer de ton bolide? ... Bravo ... Tu as du faire un effort surestimable car c'est certain que d'aller frimer en conduisant devant des minettes , cela doit-ètre bien plus tentant que de prendre le train .Surtout quand on se met les minettes en question dans la poche , derrière le dos de sa copine .

Puis elle se tut et repensa un peu au caractère de James . C'est vrai que quand ils étaient ensemble son coté macho ne l'avait jamais géné au contraire , elle appréciait plutot à l'époque . Mais maintenant qu'ils étaient séparés , elle dénigrait cette aspect de sa personnalité.

Kaitlynn jeta un regard sur le paysage qui défilait derrière la vitre et parut songeuse un moment . Elle savait qu'elle avait eu tord de rentrer dans son jeu car ce ne serait certainement pas lui qui stopperait les railleries .Mais ca avait été plus fort qu'elle de rispoter . En temps normal , ce n'était pas son genre de ce livrer à ce genre de méchancetés , mais elle avait trop de rancoeur pour se retenir.

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On ne peut pas dires que James n'aime pas les animaux parce que c'est loin d'être le cas, mais il a en horreur l'affreux petit épagneul de son ex, comme il a en horreur tout les autres petits chiens du monde. Pour lui, rien de tel qu'un beau grand berger allemand. Un chien qui a de la prestance quoi, pas un qui ressemble à une pentoufles.

Le voir courir partout au pied du lit et parfois sur le lit lui avait toujours tappé sur le système nerveux. Le petit chien-chien à sa mê-mêre c'était loin d'être sa tasse de thé pourtant il avait bien du le supporté tout un temps.

Les yeux de James se glaçairent à en devenir presque mertrier et d'un ton tranchant il répondit sans aucune hésitation.

- "J'ai bien réussi à confondre un chameau avec une blonde..."

Il sourit et fit claqué la langue contre son palai. D'habitude se geste avait quelque chose de charmeur mais la manière et le contexte actuel faisait qu'il était plus moqueur et satisfait qu'autre chose.

- "Tu sais très bien que ma voiture n'a jamais été une fin en sois, celle là ou une autre je m'en fou tant qu'elle m'amêne ou je veux, quand je veux et à la vitesse que je veux. Alors inverse pas les rôles. De plus ma voiture courrait pas partout en aboyant sans arrêt donc bon, c'est loin d'être comparable. De plus elle te plaisait bien la voiture avant non?"

Il avait réussi à la mettre hors d'elle et il ne put s'empêcher d'en sourire. Elle avait voulu jouer avec ses pieds et bien maintenant elle assumerait. Et si elle voulait élever la voix devant tout le monde c'est elle qui se rendrait ridicul et tout le monde ne pourrait se dires qu'une chose, qu'il avait eu raison de quitter une hystérique pareil.

Il pencha donc légèrement la tête en arrière et se mit à fredonner en attendant une nouvelle réaction de la jeune femme. Et il l'attendait avec une certaine impatience. Le trajet allait surement se montrer plus intéressant que prévu.

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La remarque avait cinglé comme ça, sans aucune hésitation.
Kaitlynn avait été surprise. Pourtant elle savait qu'il pouvait être très méchant mais elle pensait qu'il avait gardé un peu de respect à leur relation, et même à elle.

Il la regardait séchèment comme depuis le début de leur retrouvaille et venait d'adopter son air hautain qui l'agaçait franchement.
Comment pouvait-il l'agresser à ce point ? Et comment était-elle censée réagir ? Elle n'allait sûrement pas se laisser faire mais elle était trop perturbée par la franchise et l'indifférence qui venaient d'apparaitre froidement dans le ton de son ex petit-ami pour enchaîner de suite par une contre attaque. Elle n'aurait certainement pas souhaité de la pitié mais peut-être un peu de nostalgie alors elle n'avait que pour réponse la vision d'une personne machiste et volontairement agaçante.

La jeune femme patienta quelques secondes, jetta un bref coup d'oeil à la fenêtre et au paysage et avec une légère grimace ajouta calmement comme à elle même.

- Le chameau devait-être quand même assez séduisant pour que tu prennes le risque de sortir avec lui...

- Mais après tout tu as sûrement raison. Je suis la pauvre naîve de l'histoire, superficielle, celle qui se balade avec son rat des champs qu'en rêvant de sa prochaine manucure et qui ne sait pas aligner un plaidoyer correctement lors d'un proçès. Je suis simplement une erreur dans ta vie sentimentale.

Kaitlynn s'arrêta quelques secondes, observant sur le coté, n'osant pas croiser le regard de James.

- Je ne vais pas essayer de défendre ma cause ou quoique ce soit de toute façon, tu penses assez bien que je n'en serai incapable, je suis sûrement arrivée à Harvard par un certain miracle et je n'y resterai pas lontemps.[b]

Elle haussa les épaules.

[b]- Je regrette seulement que tu n'es retenu que cela de moi, que tu n'y es vu que cet aspect ...

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James montra à nouveau que sa réputation n'était pas du tout arrivée de nul part. Il disait ce qu'il pensait, quand il le pensait et surtout comme il le pensait. Pourquoi tourner autour du pot quand on peut se permettre de dires directement ce qu'on pense. Et ce peut importe la personen qui était face à lui. Un camarade, un prof, un autre avocat voir un juge. Tous à la même enseigne.

Sa remarque sembla avoir toucher plus profondément la jeune femme que ce qu'il pensait mais ce n'était pas son roblème. Pas le moins du monde.

A la constatation de Kaitlynn il ne put s'empêcher de rire.

- Je n'ai jamais dit que le chameau n'était pas séduisait, voir même qu'il ne l'est pas toujours.

Il laissa sa phrase en suspend tout en souriant vaguement avant de reprendre.

- Mais être séduisante ne veut pas dires être parfaite et encore moins indispensable. Tu t'es toujours trop tracassée de la forme alors que je me suis toujours tracassé du fond. Tu perd ton temps à des futilités et je ne veux pas y perdre le mien. J'ai autre chose à faire que de regarder ou je fou les pieds parce que ton sale rat est incapable de rester dans un coin, j'en avais marre de faire les magasins alors que tout mes potes jouaient dehors et par deçu tout, je ne supporte pas les femmes collantes qui téléphonent pour un oui ou pour un non. T'avais pas l'air de réaliser qu'en dehors de toi j'avais aussi une vie, tu m'a étouffé et j'ai préféré prendre le large. Je nous ai saccrifié pour me sauver et si tu t'étais plus tracassée de nous qu'à tes ongles, tu l'aurai peut-être remarqué bien assez tôt.

Le regard de son ex petite copine se perdait à gauche et à droite. Elle n'avait même pas le courage de le regarder dans les yeux. Une preuve d'enfzntillage flagrant. Réflexe typique de celle qui est habituée à tout avoir et qui d'un coup n'a pas ce qu'elle veut...

- Je ne pense pas que tu es inapte. J'en suis convaincu, pas dans ton état d'esprit actuelle. Avec de la maturité je dis pas, mais pas en étant puérille comme tu l'es pour le moment. Et pour ce qui est de ton admission, tout le monde sait qu'avec un gros cheque, tout le monde peut rentrer. Et le fait que tu sois ici ne veut pas dires que tu vas réussir!

Il essaya de garder un visage neutre mais il avait parfosi du mal de retenir un petit sourir satisfait. Il menait la discution et la jeune femme la subissait. Il était hors de question qu'il devienne le labrador de son ex et qu'il se mette à lui courir après et à obéir au doigt et à l'oeuil pour la récupérer. Il ne voulait pas là ravoir de toute façon. Si elle revenait d'elle même et qu'elel se décidait à changer, il jouerait peut-être sur 2 tableaux mais pour le moment la situation était fort peu envisageable. D'un ton neutre et déstabilisant, surtout pour dires une chose pareil.

- J'ai aussi retenu qu'au lit tu étais une déesse.

Il sourit en faisant claquer la langue contre son palai puis sorti une flasque de la poche intérieur de son veston, en bu une gorgée et la tendis à la jeune femme.

- Whisky?